Au travail!

Voilà, petits curieux. Vous savez maintenant de quoi a l’air mon environnement de travail au bureau. Oui… j’ai un petit faible pour les bidules technologiques comme la station spatiale qui forme mon fond d’écran. Comme on peut voir, Je ne suis pas maniaque du fond d’écran couvert d’icônes; il n’y a là que les programmes essentiels. Et pas de post-its (c’est Dr. CaSo qui m’a donné l’idée de ce message). L’ordre ou le désordre sur le bureau physique lui-même varie selon la variété et l’urgence des projets du moment.

À ma droite lorsque je suis assis, ce gigantesque classeur (le tiroir du bas n’est pas visible sur la photo). Sur le dessus, on peut voir quelques livres qui n’ont pas encore trouvé place dans mes étagères déjà trop remplies et qui retourneront probablement à la maison lorsque j’aurai terminé la session et le cours d’histoire de la sexualité. C’est en ouvrant ses tiroirs qu’on découvre un trait de ma personnalité…

Bon. J’avoue. C’est quelque peu obsessif. C’est grave, docteur (CaSo)? En fait, ça a commencé lorsque j’étais étudiant à la maîtrise (il y a donc quinze ans!) et que je cherchais un moyen de procrastiner… J’imprime mes étiquettes. Oui. Je le fais en utilisant du papier bien ordinaire sur lequel j’ai créé un tableau avec des cellules de la grandeur appropriée, que je découpe ensuite pour insérer dans les petites pochettes en plastique. Oui, je sais… ça fait peur. Ça cause aussi problème pour les dossiers qui n’ont pas encore trouvé dans mon esprit un ordre de classification et qui peuvent traîner plusieurs mois sur une tablette avant que je me décide à créer enfin de l’ordre. Je pourrais ainsi vous montrer la section concernant l’ACFA et le conseil consultatif en santé dans mon bureau à la maison…

Bien entendu, la couleur des chemises est également codée.

Tout n’est cependant pas perdu. J’ai une des portes les plus bavardes de tout le collège… qui comporte, dans le coin supérieur gauche, cet avertissement:

Source: IcanHasCheezburger.