Il y a tout de même certains avantages à vivre à des latitudes nordiques… pris tout près de chez nous il y a quelques minutes, par un soir de temps de fraîcheur printanière, pas de froidure… Cette seconde (plutôt la première vidéo prise) étant en mode portrait, je vous recommande de la visionner directement sur YouTube et en plein écran.

Excusez la granularité… les vidéos ont été prises à l’ordiphone… je ne trimballe pas ma caméra vidéo HD à tout hasard…

Y’a d’l’abus

Je sais, et JLT me l’a rappelé… je me fais rare ces derniers temps. Bon. Si vous saviez mon emploi du temps «dans la vraie vie»… mais on survit malgré tout. Cependant, alors que je feuilletais parcourais l’application téléphonique de Radio-Canada cet après-midi, je n’ai pas pu m’empêcher de capturer ces deux titres contrastés placés l’un au-dessus de l’autre… Comme quoi l’injustice prolifère, mais personne ne semble s’en soucier.

Liens vers les articles sur le site de la SRC:

C’est la semaine de relâche qui commence… je vais essayer de mettre en ligne des nouvelles fraîches!

Une p’tite vite

Le travail de la session n’est pas complètement terminé, donc je n’ai pas vraiment le temps de m’étendre en longueur… mais voici une preuve que je suis toujours en vie. D’abord, comme on peut le voir sur l’image d’en-tête, il ne fait pas chaud chez nous depuis quelque jours. Pour référence, Edmonton se trouve un chouïa à l’est de l’anticyclone de 1060 hPa que l’on voit sur la frontière entre l’Alberta et la Colombie Britannique. Sous le courant-jet et dans un vortex polaire particulièrement glacial qui s’est installé chez nous la fin de semaine dernière. La voiture proteste lorsqu’on veut la faire travailler.

On nous promet une amélioration pour la fin de semaine… mais on verra. Ces vortex polaires peuvent parfois s’installer à demeure. Si vous cliquez sur les images, vous obtiendrez une version à jour des prévisions et de l’état du courant-jet.

Cette température est fort propice à la vie intérieure. Cette fenêtre dans l’escalier qui mène au sous-sol nous indique que l’isolation est probablement à refaire à cet endroit… Cette fenêtre n’ouvre pas, en passant. Cliquez sur l’image pour voir en détail. Heureusement, la fournaise tient bon et nous avons un petit chauffage d’appoint au sous-sol qui va nous coûter une fortune en janvier mais qui est bien nécessaire pour maintenir l’endroit habitable (et me permettre de continuer à travailler, puisque mon bureau est au sous-sol).

La vie intérieure se décline aussi en petits plats. Hier, pendant la pause souper, alors que j’explorais l’application de La Presse en attendant la fin de la cuisson du repas, je suis tombé sur cette recette de gâteau Bundt au lait-de-poule de Lydiane Gaborieau. Ni une, ni deux, le mélangeur sur socle fut de sortie et nous avons eu droit à un dessert de fin de soirée absolument délicieux. J’ai dû faire une légère adaptation, n’ayant pas de lait de poule sous la main, je l’ai remplacé par du lait et ajouté un peu plus d’épices pour compenser, mais c’était moelleux et savoureux à souhait.

Bon… Je retourne à la correction et à très bientôt! Sinon, y’a des minets qui vont protester s’ils ne se voient pas assez souvent à l’écran…

À la bourre!

Juste pour vous prouver que quand l’hiver nous tombe dessus à bras raccourcis, ce n’est pas de la frime. Cette photo prise à l’heure du dîner à mon lieu de travail le 9 novembre dernier (déjà!) vous fait l’étalage d’une blancheur qui ne restera évidemment pas immaculée longtemps.

Et je suis à la bourre. C’est la fin de session… J’ai quand même cuisiné un peu et essayé de nouvelles recettes, mais je n’ai pas encore eu le temps de mettre tout ça en ligne. Ça viendra bientôt!

Plus que deux semaines de cours! C’est court! Je cours! On court!

Autres vues automnales

Il y a quelques jours, pendant ma pause entre mes cours, je suis allé faire le tour du campus. La végétation commence sérieusement à se ressentir de l’automne. Ce qui n’est pas sans un certain charme.

Cependant que, juste à côté, un autre chantier de construction a commencé cet été et est fort avancé grâce à la technique des panneaux de béton préfabriqués. Il s’agit d’un édifice destiné à abriter le Centre de défense des droits de l’enfance, dont les services sont destinés à travailler en partenariat avec ceux de notre institution.

Et enfin… ceux-là ne se préoccupent pas trop du rafraîchissement des températures, des nuits qui se font plus longues ou encore de nos absences occasionnelles. En attendant notre retour, ils tiennent le lit bien au chaud. Pour autant qu’il y ait des croquettes… et cette nouvelle pâtée qui leur plaît tant!